Béton structurel léger et isolant pour RENFORCEMENT DE DALLES ET RÉDUCTION DE PONTS THERMIQUES.
SPÉCIFICATION DE PROJET
Béton structurel léger TERMO 14 prémélangé en sacs à base d'argile expansée, de granulats naturels, de liant de ciment et d'additifs.
Densité du béton conforme à la norme UNE EN 206-1 environ 1 400 kg/m3, classe de résistance à la compression certifiée conforme à la norme UNE EN 206-1-LC 20-22. Rck = 25 MPa à 28 jours. Module d'élasticité certifié 15 000 MPa. Conductivité thermique I = 0,42 W/mK.
Fabrication et coulées conformément aux indications du fabricant.
PRÉPARATION DU SUPPORT
Le support doit être propre, sans élément détaché, exempt de poussière, d'huile, d'oxyde et de résidus de plâtre, de mortier, d'huiles, de peintures etc. et doit avoir une bonne résistance à la compression et à la traction. Dans le cas du passage d'installations électriques et sanitaires, celles-ci doivent être protégées et séparées de manière adéquate pour éviter tout dommage possible pendant l'application du matériau.
Les supports anciens ont tendance à être très secs et absorbants. Nous recommandons donc de prendre des mesures contre le risque de perte excessive d'eau du mélange par absorption du support (humidification abondante et/ou pose de toiles imperméables transpirables lorsque ceci est possible, application de primaires spécifiques, etc.)
Dans le cas de coulées sur des dalles de bois sur des planchers, il est recommandé de poser une toile imperméable transpirable entre le bois et le béton.
PRÉPARATION DU MÉLANGE
TERMO 14 ne requiert l'ajout d'aucun autre matériau ou additif. Le mélange se prépare facilement à l'aide de bétonneuses traditionnelles, de mélangeurs planétaires et de mélangeurs-transporteurs de mortier de type pneumatique (ou « pompes pneumatiques de mortier »). Il est interdit d'utiliser des mélangeurs-batteurs pour ciment colle.
Les quantités d'eau indiquées précédemment sont basées sur notre expérience. L'utilisation de quantités supérieures peut affecter la résistance et provoquer des effets de « remontée » (bleeding) ou de ségrégation. Des quantités d'eau inférieures peuvent ne pas permettre la prise correcte du béton et provoquer le dessèchement du mélange. L'opérateur doit contrôler avec soin la consistance du mélange et les autres conditions du chantier. Par exemple, en été, il est possible qu'il faille augmenter la quantité d'eau en raison de l'évaporation plus importante provoquée par les hautes températures ambiantes. Ne pas prolonger la durée de malaxage. En cas de pompage de TERMO 14 avec des mélangeurs-transporteurs de mortier de type pneumatique (ou « pompes pneumatiques de mortier ») il faut augmenter la quantité d'eau dans le mélange en fonction de la distance de pompage.
APPLICATION ET POMPAGE
TERMO 14 s'applique comme un béton traditionnel.
Faire attention au temps de vibrage qui devra s'effectuer de sorte que les grains d'argile expansée ne remontent pas à la surface de la coulée.
SÉCHAGE DU BÉTON
Les coulées de TERMO 14 ainsi que celles du béton traditionnel doivent être protégées contre les risques de séchage trop rapide qui dépendent de la perte excessive d'eau dans la partie supérieure (atmosphère) et inférieure (voir préparation du support).
Les conditions climatiques spéciales (températures, courants d'air, rayons directs du soleil, etc.) peuvent accélérer l'évaporation de l'eau et affecter le séchage correct du béton qui doit être protégé d'une bâche en plastique et/ou être humidifié régulièrement par arrosage d'eau.
COULÉES SUR DALLES
COUCHE DE COUVERTURE ET FINITION
Une dalle (ou la couche de compression, ou la couche collaborante) en béton structurel n'est pas une simple surélévation. Elle ne doit donc pas être interrompue par les installations (plomberie, drains, électricité, etc.) car ceci peut affecter sa résistance mécanique. Pour l'insertion d'installations, des couches de finition sont nécessaires (surélévations et/ou chapes adéquates) et nous recommandons l'utilisation d'autres produits légers de la GAMME TERMOLITE tel que le produit de surélévation TERMO 6 ou la chape de pose TERMO 12.
Si les caractéristiques du chantier ne permettent pas de réaliser une couche de couverture adéquate, il est possible de poser le revêtement de sol directement sur TERMO 14 comme on le ferait sur un béton structurel traditionnel.
Dans ce cas, il faut faire particulièrement attention pendant la réalisation de la surface de la coulée (lissage et planéité) et au séchage du béton (voir la section « Séchage du béton »), et utiliser des techniques et des matériaux adéquats pour coller le revêtement sur une dalle en béton structurel (ciments colle avec une élasticité adéquate, grès/carrelages de petite taille, joints de pose plus grands et/ou interposition de plaques de désolidarisation spécifiques avant la pose du revêtement). Il faudra également tenir compte des conséquences possibles de la flèche de la dalle sur le revêtement de sol et du contenu résiduel d'humidité dans le béton avant de poser le revêtement de sol.
Pour éviter que la résistance finale du béton ne soit affectée, il faut contrôler strictement la quantité d'eau du mélange. Ne jamais poser le produit si sa consistance est sèche ou semi-sèche (« terre humide »).
PRÉPARATION DU SUPPORT
Le support doit être propre, sans élément détaché, exempt de poussière, d'huile, d'oxyde et de résidus de plâtre, de mortier, d'huiles, de peintures etc. et doit avoir une bonne résistance à la compression et à la traction. Dans le cas du passage d'installations électriques et sanitaires, celles-ci doivent être protégées et séparées de manière adéquate pour éviter tout dommage possible pendant l'application du matériau.
Les supports anciens ont tendance à être très secs et absorbants. Nous recommandons donc de prendre des mesures contre le risque de perte excessive d'eau du mélange par absorption du support (humidification abondante et/ou pose de toiles imperméables transpirables lorsque ceci est possible, application de primaires spécifiques, etc.)
Dans le cas de coulées sur des dalles de bois sur des planchers, il est recommandé de poser une toile imperméable transpirable entre le bois et le béton.
PRÉPARATION DU MÉLANGE
TERMO 14 ne requiert l'ajout d'aucun autre matériau ou additif. Le mélange se prépare facilement à l'aide de bétonneuses traditionnelles, de mélangeurs planétaires et de mélangeurs-transporteurs de mortier de type pneumatique (ou « pompes pneumatiques de mortier »). Il est interdit d'utiliser des mélangeurs-batteurs pour ciment colle.
Les quantités d'eau indiquées précédemment sont basées sur notre expérience. L'utilisation de quantités supérieures peut affecter la résistance et provoquer des effets de « remontée » (bleeding) ou de ségrégation. Des quantités d'eau inférieures peuvent ne pas permettre la prise correcte du béton et provoquer le dessèchement du mélange. L'opérateur doit contrôler avec soin la consistance du mélange et les autres conditions du chantier. Par exemple, en été, il est possible qu'il faille augmenter la quantité d'eau en raison de l'évaporation plus importante provoquée par les hautes températures ambiantes. Ne pas prolonger la durée de malaxage. En cas de pompage de TERMO 14 avec des mélangeurs-transporteurs de mortier de type pneumatique (ou « pompes pneumatiques de mortier ») il faut augmenter la quantité d'eau dans le mélange en fonction de la distance de pompage.
APPLICATION ET POMPAGE
TERMO 14 s'applique comme un béton traditionnel.
Faire attention au temps de vibrage qui devra s'effectuer de sorte que les grains d'argile expansée ne remontent pas à la surface de la coulée.
SÉCHAGE DU BÉTON
Les coulées de TERMO 14 ainsi que celles du béton traditionnel doivent être protégées contre les risques de séchage trop rapide qui dépendent de la perte excessive d'eau dans la partie supérieure (atmosphère) et inférieure (voir préparation du support).
Les conditions climatiques spéciales (températures, courants d'air, rayons directs du soleil, etc.) peuvent accélérer l'évaporation de l'eau et affecter le séchage correct du béton qui doit être protégé d'une bâche en plastique et/ou être humidifié régulièrement par arrosage d'eau.
COULÉES SUR DALLES
COUCHE DE COUVERTURE ET FINITION
Une dalle (ou la couche de compression, ou la couche collaborante) en béton structurel n'est pas une simple surélévation. Elle ne doit donc pas être interrompue par les installations (plomberie, drains, électricité, etc.) car ceci peut affecter sa résistance mécanique. Pour l'insertion d'installations, des couches de finition sont nécessaires (surélévations et/ou chapes adéquates) et nous recommandons l'utilisation d'autres produits légers de la GAMME TERMOLITE tel que le produit de surélévation TERMO 6 ou la chape de pose TERMO 12.
Si les caractéristiques du chantier ne permettent pas de réaliser une couche de couverture adéquate, il est possible de poser le revêtement de sol directement sur TERMO 14 comme on le ferait sur un béton structurel traditionnel.
Dans ce cas, il faut faire particulièrement attention pendant la réalisation de la surface de la coulée (lissage et planéité) et au séchage du béton (voir la section « Séchage du béton »), et utiliser des techniques et des matériaux adéquats pour coller le revêtement sur une dalle en béton structurel (ciments colle avec une élasticité adéquate, grès/carrelages de petite taille, joints de pose plus grands et/ou interposition de plaques de désolidarisation spécifiques avant la pose du revêtement). Il faudra également tenir compte des conséquences possibles de la flèche de la dalle sur le revêtement de sol et du contenu résiduel d'humidité dans le béton avant de poser le revêtement de sol.
Pour éviter que la résistance finale du béton ne soit affectée, il faut contrôler strictement la quantité d'eau du mélange. Ne jamais poser le produit si sa consistance est sèche ou semi-sèche (« terre humide »).
Sacs de 25 litres sur palettes en bois : 56 sacs/palette.
Stockage jusqu'à 1 an dans son emballage d'origine fermé, à l'abri des intempéries et de l'humidité.
Densité en sac | environ 1 150 Kg/m³ |
Densité (UNE EN 206-1) | environ 1 400 Kg/m³ (classe D1,5) |
Classe de résistance (UNE EN 206-1) | LC 20/22 |
Classes d'exposition admises (UNE EN 206-1) | XO-XC1 |
Temps d'application (à 20 °C) | 45 minutes |
Température d'application | de +5 °C à +35°C |
Circulation | 12 heures après la pose |
Conductivité thermique déclarée (UNI10351) | 0,42 W/mK |
Conductivité thermique de calcul (UNE EN ISO 10456) | 0,46 W/mK |
Résistance caractéristique à la compression cubique certifiée (laboratoire) 28 jours :
Rck |
25 MPa - N/mm² (cubique) 22,5 MPa - N/mm² (cylindrique) |
Résistance à la compression conseillée pour le calcul:
Rck |
|
Module élastique certifié | E = 15 000 N/mm² |
Résistance à la vapeur d'eau (UNE EN 12524) | µ = 6 (champ humide) |
Perméabilité à la vapeur d'eau (UNI 10351) | δ = 1,9 * 10-12kg/msPa |
Capacité thermique spécifique | Cp = 1 000 J/kgK |
Réaction au feu (UNE EN 13501) | Euroclasse A1 (incombustible) |
Rendement sur le chantier lors de l'application de renforcements de dalles | Environ 0,47 sacs/m² pour 1 cm d'épaisseur (sacs de 25 litres) |
Emballage | Sacs de 25 litres sur palettes en bois : 56 sacs/palette |
Conformité | Norme UNE EN 206-1 |