Quelle est la différence entre les mortiers Morcemsec d'extérieur et le Morcemdur ?
La principale différence entre un mortier de revêtement de la gamme Morcemsec et un mortier monocouche de la gamme Morcemdur vient déterminée principalement par la normative européenne (EN) des mortiers EN 998-1, qui fait la différence entre les deux types. Entre le premier type qui doit être classifié comme GP (Mortier à usage courant, gris) ou CR (Mortier colorée, blanc inclus) et le Morcemdur qui doit être classifié OC, la principale caractéristique technique c’est que plus d’exigences sont demandés à un mortier monocouche qu’à un mortier de revêtement classique, notamment la résistance en termes de durabilité du mortier dans le temps.
Il y ont deux types de tests exigés selon la EN qu’un mortier monocouche Morcemdur doit achever mais qu’à un mortier classique Morcemsec ne lui sont pas exigés, à savoir :
• Adhérence après des cycles de gel/dégel et ;
• Perméabilité à l’eau après les cycles de gel/dégel.
Le fait qu’un Morcemdur passe par ces deux tests de conditionnement relève la haute résistance qui présente ce mortier et la haute durabilité dans le temps qui peut achever. Caractéristique technique achevée par l’addition des résines spécifiques pour améliorer la résistance des fibres pour prévenir l’apparition des fissures, des granulats légères, etc.
Efflorescences: qu'est-ce que c'est, comment les prévenir et les traiter?
L'une des pathologies les plus fréquentes sur les façades est l'efflorescence. Il s'agit de taches blanchâtres d'aspect irrégulier qui apparaissent sur des surfaces ayant subi de l'humidité. Lorsque la surface s'assèche et que l'eau s'évapore, certains des sels solubles présents dans l'eau se cristallisent, provoquant l'apparition d'efflorescences.
Les principales causes de ce problème sont les précipitations et l'humidité excessive. Pour prévenir et traiter les taches d'efflorescence, il est donc essentiel de protéger les surfaces face à ces facteurs.
Causes et types d'efflorescences
Les efflorescences, également appelées le salpêtre ou l´alcalinité, en plus d'être un problème esthétique, peuvent représenter un danger pour le support sur lequel elles se trouvent, car elles peuvent le détériorer sérieusement. En général, cette pathologie se manifeste sur des surfaces en béton, en brique et en pierre. Voici quelques-uns des principaux facteurs qui provoquent leur apparition :
• Matériaux de construction très poreux contenant des sels solubles.
• Les conditions météorologiques telles que la pluie et les basses températures.
• L'humidité par la remontée capillaire ou la condensation.
On peut distinguer deux types d’efflorescence :
• L'efflorescence primaire : c'est celle qui se forme sur les chantiers récemment achevés à cause de l'humidité. Bien que son apparition soit généralement inévitable, elle disparaît peu de temps après sans laisser de trace.
• Efflorescence secondaire : c'est celle qui apparaît dans les anciens bâtiments en raison d'une mauvaise construction ou du choix de matériaux inadaptés. Elles peuvent également apparaître, comme nous l'avons constaté antérieurement, en raison d'une porosité élevée ou de l'humidité.
Comment prévenir et traiter l´apparition d'efflorescences ?
Cette pathologie contrariante peut être prévenue de différentes manières. Dans le cas de surfaces de nouvelle construction, un soin particulier doit être apporté au choix des matériaux appropriés. À ce stade, il est important d'éviter l'utilisation d'eaux calcaires et de mortiers à forte alcalinité. Il est également essentiel de respecter les temps de séchage de chaque matériau utilisé dans la construction.
Dans le cas de surfaces déjà existantes, il est essentiel de contrôler l'humidité. Comme indiqué ci-dessus, l'humidité de condensation et l'humidité par remontée capillaire, peuvent toutes deux provoquer des efflorescences. Chacune d'entre elles doit être traitée de manière différente : dans le cas des condensations, la solution consiste à appliquer un système d'isolation thermique ; tandis que dans le cas de l'humidité par remontée capillaire, une amélioration constructive sera nécessaire, car celles-ci proviennent du sous-sol.
En revanche, si les taches causées par l'efflorescence sont déjà apparues, la principale mesure consiste à nettoyer puis à appliquer une nouvelle mesure de protection sur le support. La façon la plus simple de les éliminer est avec de l'eau sous pression et une brosse, mais il est parfois nécessaire d'utiliser un nettoyant spécifique pour ce type de pathologie. Après le nettoyage, il est important de laisser la surface sécher complètement pour éviter que les taches ou les problèmes d'humidité ne réapparaissent.
Pour compléter le processus et éviter que ces taches inesthétiques ne réapparaissent, il est conseillé d'appliquer une protection supplémentaire sur la façade, comme l'application d'ANTISALMOR, un additif produit à base aqueuse, indiqué pour éliminer et retenir l´apparition d'efflorescences causées par le salpêtre sur les parements habituels d´œuvres en construction, tels que les mortiers, le béton, la brique et le béton armé, la pierre naturelle, etc. Il a une grande pénétration dans le support et beaucoup de capacité pour la dissolution des sels. Cet additif empêche la cristallisation des sels sur la surface traitée. Il est transparent et incolore et capable de lier des particules détachées ou peu adhérentes.
Pourquoi ne puis-je pas appliquer un mortier au dessous de 5°C ni au dessus de 30°C?
La température d'application des mortiers est un facteur très important dont il faut tenir compte.
Nous ne pouvons pas l'appliquer au dessous de 5°C pour plusieurs raisons :
Au-dessous de cette température, nous courons le risque de voir se former des cristaux de glace dans l'eau du mortier, ce qui empêche l'apport d'eau au mortier de manière appropriée et engendre une prise incorrecte du ciment. Cela peut provoquer des fissures, un manque de consistance du mortier, etc.
- De plus, à cause de ces températures, la prise du ciment est ralentie et l'on n'obtient pas les réistances finales que l'on pourrait obtenir dans des conditions normales.
Nous ne pouvons pas l'appliquer au-delà de 30°C parce qu'à cause de ces températures, une évaporation de l'eau du mortier se produit. Cela implique que l'apport final d'eau au mortier est alors inférieur à l'apport nécessaire. De ce fait, le mortier est désagrégé et sans force, ce qui peut engendrer des fissures.
Pour éviter que cela arrive, lorsque nous travaillons par des jours très chauds, nous devons éviter de travailler aux heures les plus chaudes, mais plutôt tôt le matin et en fin d'après-midi. Si l'on travaille sur une façade sur laquelle donne le soleil, il est recommandé de la protéger par des stores qui l'empêcheront de recevoir directement le soleil.
Lorsque je retire une pièce de grès porcelaneux mis en place avec PEGOLAND PORCELANICO, la pièce apparait propre. Cela signifie-t-il qu'elle n'était pas correctement fixée ?
Absolument pas. Lorsque nous travaillons avec des pièces de type grès porcelaneux dont l'absorption est quasiment nulle, la méthode de fixation entre l'adhésif et la pièce n'est pas traditionnelle. Nous avons besoin d'utiliser un adhésif cementeux présentant une teneur élevée en résine, qui assure une adhérence chimique. Ce type d'adhérence ne se réalise pas par pénetration du mortier dans les pores de la pièce, sinon il s'agit d'une adhérence superficielle.
Voila pourquoi la pièce apparait propre, car elle ne présente pas de pores où pourrait pénétrer le mortier, mais la fixation est bonne grâce à l'adhérence chimique qu'assurent les résines.
Compilation et �valuation des donn�es d�entr�e, de sortie et des possibles impacts environnementaux d�un syst�me tout au long de son cycle de vie.
L��chafaudage est une structure temporaire pour supporter les ouvriers, les produits et les �quipements dans la construction ou la r�paration de b�timents ou autres ouvrages.
Additif
Mat�riau min�ral form� de fines particules, qui peut �tre ajout� au mortier pour am�liorer ses propri�t�s ou obtenir des caract�ristiques sp�cifiques. (EN 13318, EN 998). 0300102
Adh
C�est la force maximale de rupture par unit� de surface d�un mortier associ� � un support ou un mat�riau, mesur�e par traction ou cisaillement.
Adh
Mortier � base de polym�re en dispersion utilis� pour l�assemblage de mat�riaux. (EN 12004).
Adjuvant
Mat�riau organique ou inorganique ajout� en faible quantit� dans le mortier pour modifier ses propri�t�s � l��tat frais et/ou durci. (EN 13318, EN 998).
Air occlus
Quantit� d�air contenue dans un mortier. (EN 1015-7). 0400102
Ajustabilit
Dur�e maximale pendant laquelle l�ouvrage peut �tre corrig� sans perte significative des r�sistances finales (ex: correction d��l�ments de ma�onnerie ou de carrelage apr�s application du mortier). (EN 1015-9 � Mortiers de montage). (EN 12004 � Colles � carrelage).
Algues et champignons
Application mono masse (frais sur frais)
M�thode d�application d�une nouvelle passe de mortier sur la pr�c�dente, avant sa prise. (EN 13318).
Argile expans
Granulat l�ger utilis� pour l�isolation, dont la structure cellulaire est obtenue par expansion d�argile sous l�effet de la chaleur. (EN ISO 9229)
Autolissant
itself. Capacit� d�un mortier frais, fluide, � former naturellement une surface lisse.
Autonivelant
a flat surface. Capacit� d�un mortier frais � s��taler naturellement pour former une surface plane.
Capillarit
Capacit� d�un mortier � absorber naturellement de l�eau liquide. Il n�y a pas de relation entre la porosit� et la capillarit�. (EN 1015-18 - Mortiers de ma�onnerie). (EN 13888 � Mortiers de joints pour carrelage).
Cendres volantes
Une tr�s fine cendre r�cup�r�e sur les filtres ext�rieurs des chaudi�res et fours de combustion de l�industrie produisant de l��nergie. De telles cendres ont des propri�t�s pouzzolaniques.
Chape
Couche adh�rente ou non de mortier appliqu�e directement sur le sol ou sur une couche interm�diaire ou d�isolation pour obtenir un certain niveau, appliquer un rev�tement et/ou avoir une surface r�sistante. (EN 13318).
Chape fluide
Chape faite en utilisant des propri�t�s auto nivelantes d�un mortier. (EN 13318).
Chaux hydrat
Liant produit par la calcination de pierres calcaires suivie d�une hydratation de l�oxyde de calcium conduisant � de l�hydroxyde de calcium sous forme de poudre s�che. (EN 459).
Chaux hydraulique naturelle (NHL)
Un liant produit par calcination d�un calcaire contenant naturellement de l�argile. Il a des propri�t�s de s�chage et de durcissement sous l�effet de l�eau (r�action d�hydratation) De plus la carbonatation se produisant par la r�action avec le dioxyde de carbone de l�atmosph�re, cela contribue aussi au processus de durcissement. La Chaux hydraulique artificielle (HL) et les Chaux formul�es (FL) sont des m�langes de NHL avec d�autres mat�riaux hydrauliques ou pouzzolaniques, y compris le Ciment Portland. (EN 459).
Ciment
Liant � prise rapide. Le ciment le plus courant est le Ciment Portland. (EN 197).
Colle d
Mortier pour coller au support le mat�riau isolant d�un syst�me ITE. (EN 13500). 0302602
Colle r
Mortier r�actif bi-composant utilis� pour le collage de mat�riaux. (EN 12004, EN 1504-1).
Compactage
Proc�d� manuel ou m�canique de traitement d�un mortier frais pour augmenter sa densit�. (EN 13318).
Conductivit
Valeur (?) caract�risant une propri�t� thermique d�un mortier � l��tat sec. La valeur ? est li�e � la densit� du mortier durci. (EN 1745).
Consistance
C�est la fluidit� du mortier frais. (EN 1015-3 - Mortiers de ma�onnerie) (EN 12706 - Mortiers d��galisation des sols)
Couche d
Couche appliqu�e en une ou plusieurs passes utilisant le m�me mortier, sans laisser s�cher la premi�re passe avant d�appliquer la deuxi�me. (ex. frais sur frais). (EN 998-1).
Couche finale
Couche sup�rieure d�un syst�me d�enduisage multicouches. (EN 998-1).
Croisillon de joints carrelage
Cycle de vie
�tapes de la vie, cons�cutives et interconnect�es, de l�ouvrage en question.
D
Capacit� d�un mortier � �tre d�form� par une contrainte sans destruction de sa structure. Cette caract�ristique peut �tre �valu�e par le module d��lasticit�, mesur� de fa�on dynamique ou statique. (ISO 5271 + 2).
D
La d�gradation du mortier par s�paration des couches qui le composent.
D
D�flection enregistr�e au centre, quand un �chantillon de mortier est soumis � une charge en trois points. (EN 12002 - Mortiers-colles et mortiers de joints pour carrelage).
De-construction
Concept de r�utiliser des structures existantes pour cr�er de nouvelles installations. La d�construction inclut au moins trois phases soit partiellement soit totalement: d�classement (changement d�un statut de fonctionnement � un statut de non fonctionnement), d�mant�lement, et enl�vement s�lectif. 0100402
Degr
Le degr� de progression du mortier vers l�hydratation compl�te. Le niveau augmente avec la temp�rature et baisse si l�humidit� dispara�t. Le niveau peut �tre modifi� par la pr�sence d�acc�l�rateurs ou de retardateurs.
Dispositifs de fixation m
Dispositifs permettant de fixer les panneaux d�isolation thermique au support (ex. rails ou chevilles). (EN 13499).
Dur
Dur�e de vie pr�vue par le concepteur. 0100501
Dur
Dur�e maximale pendant laquelle le mortier est utilisable apr�s sa pr�paration. (EN 1015-9).
Dur
Dur�e de stockage dans des conditions d�finies pendant laquelle un mortier conserve ses propri�t�s d�application. (EN 12004).
Durabilit
Ensemble des r�sistances du mortier aux contraintes chimiques, m�caniques, climatiques qui lui assure son fonctionnement durable dans l�ouvrage.
Duret
surface R�sistance de la surface d�un mortier durci � la p�n�tration d�une bille d�acier soumise � une charge.
Efflorescence
Formation d�un d�p�t cristallin � la surface d�un enduit (EN 13318).
Efflorescences
Remont�e de sels blancs � la surface en mat�riaux poreux provoqu�es par le mouvement de l�eau � l��vaporation.
Enduit organique
Enduit ayant un polym�re pour liant principal.
Enduit silicat
Enduit min�ral ayant pour liant principal du silicate de potassium. Le durcissement se fait par �vaporation de l�eau puis la solidification sous l�action du dioxyde de carbone de l�air.
Entra
Adjuvant permettant d�incorporer uniform�ment dans le mortier une quantit� d�finie de petites bulles d�air qui subsistent apr�s durcissement. (EN 13318).
Fibre de verre
Fibre fabriqu�e � partir d�un fil continu de verre fondu, utilis�e habituellement pour la r�alisation d�armatures, tissus ou textiles. (EN ISO 9229).
Fibres de polypropyl
Ces fibres sont incorpor�es aux les mortiers d�enduisage int�rieurs et ext�rieurs, pour am�liorer la flexibilit� et la r�sistance � l�impact.
Filler
Calcaire extrait du sol ou autre mat�riau inerte ayant g�n�ralement au moins la finesse du Ciment Portland, et utilis� pour am�liorer la capacit� de remplissage de m�langes pauvres en liants.
Fissure de retrait
Fissure due au retrait du Ciment Portland. Cela peut �tre du � un exc�s de Ciment Portland dans le mortier.
Fissures
La fissuration est une discontinuit� lin�aire produite par une rupture du mortier. La fissuration est la pathologie la plus habituelle, allant de quelques microns � plusieurs centim�tres dans les situations les plus graves. La fissuration peut �tre orient�e ou al�atoire dans tous les sens. Les photos 2 et 3 ont �t� prises sur le m�me ouvrage, s�par�es de 50 m. Toutefois, les r�sultats sont compl�tement diff�rents: la n�2 montre quelques fissures orient�es, tandis que la n�3 met en �vidence une fissuration g�n�ralis�e.
Granulat
Mat�riaux granuleux n�intervenant pas dans la r�action de durcissement du mortier. (EN 998).
Granulat dur
Granulat poss�dant une grande r�sistance � l�abrasion. (EN 13318).
Grattoir
Imperm
pressure. R�sistance � la p�n�tration d�eau dans un support sous une pression d�finie.
Laine min
Mat�riau d�isolation d�aspect laineux fabriqu� � partir de roche fondue, scories ou verre. (EN ISO 9229).
Liant hydraulique
Un liant qui durcit et d�veloppe sa r�sistance par une r�action chimique avec l�eau (appel�e hydratation, se produit m�me dans la pr�sence de l�eau) Le Ciment Portland est un liant hydraulique.
M
Maillet caoutchouc
Mat
Mat�riau qui permet de r�duire le transfert de chaleur et dont les propri�t�s d�isolation d�pendent de sa nature chimique et/ou de sa structure physique. (EN ISO 9229).
Maturation
Intervalle de temps entre la pr�paration du mortier et le moment ou il est pr�t � l�emploi. (EN 12004)
Mauvaise adh
Quelques carreaux tombent. Si ceci n�est pas corrig�, ce ph�nom�ne va se d�velopper dans le temps � cause de la chaleur et de la pluie. Il y a de multiples causes responsables du ph�nom�ne : Mortier-colle inappropri�. Mortier-colle, mais mauvaise application (par exemple, apr�s la fin du temps ouvert).
Mortier
M�lange d�un ou de plusieurs liants organiques ou min�raux, agr�gats, fillers, additifs et/ou adjuvants. 0101902
Mortier color
Mortier sp�cialement color� avec une fonction d�corative. 0100202
Mortier courant
Mortier qui satisfait aux besoins g�n�raux mais ne poss�de pas de caract�ristiques sp�cifiques. Il peut �tre fabriqu� en tant que mortier pr�conis� et/ou formul�. (EN 998-1). 010302
Mortier d
Mortier pour la r�alisation d�une premi�re couche d�adh�rence d�un syst�me � multi- couches �. Il est couramment appliqu� en une couche mince. 0200402
Mortier d
Mortier performanciel utilis� pour les murs humides contenant des sels solubles. (EN 998-1).
Mortier d
Mortier performanciel fluide et/ou thixotropique pour combler les fissures ou cavit�s. Il est appliqu� par injection sous pression et peut �tre � base de ciment ou de r�sines r�actives. (EN 1504-1).
Mortier d
Mortier performanciel utilis� pour l��galisation des sols ou des chapes afin d'obtenir une surface plane et lisse. Il est utilis� essentiellement pour les sols, sur surfaces horizontales. (EN 13813).
Mortier d
M�lange d�un ou de plusieurs liants min�raux, agr�gats et parfois d�adjuvants et/ou d�additifs utilis� pour r�aliser des enduits ext�rieurs ou int�rieurs. (EN 998-1)
Mortier d
Mortier performanciel qui emp�che le passage d�eau, sous une pression d�finie, dans le support.
Mortier d
Mortier qui r�siste � l�eau de pluie et assure une protection des supports aux intemp�ries. (ex. mortiers d�enduits ext�rieurs et monocouches d�imperm�abilisation). 0203502
Mortier de calage
Mortier performanciel appliqu� par coulage pour caler des machines ou mat�riels. Il peut �tre � base de ciment(s) ou de r�sines r�actives. (EN 1504-1).
Mortier de chantier
Mortier compos� de constituants individuels (ex. liant, agr�gats, eau) dos�s et m�lang�s sur le site du chantier.
Mortier de chape
Mortier pour la r�alisation d�une chape en sols.
Mortier de colmatage
Mortier pour arr�ter les fuites d�eau. Il durcit normalement tr�s rapidement
Mortier de couverture
Mortier pour le scellement des tuiles et le calfeutrement d��l�ments de toiture et de ma�onneries.
Mortier de finition pour ITE
Mortier compos� de mat�riaux min�raux, organiques et/ou non organiques formant la couche finale d�un syst�me.
Mortier de gunitage
Mortier sec pour la projection par voie s�che. (Technique du gunitage). Il est utilis� couramment pour le renforcement des ouvrages.
Mortier de jointoiement
Mortier pour remplir les joints entre �l�ments de ma�onnerie ou carrelages. (EN 13888)
Mortier de montage
M�lange d�un ou de plusieurs liants min�raux, agr�gats, additifs et/ou adjuvants, utilis� pour l�assemblage d��l�ments de ma�onnerie. Il peut �tre destin� � l�application � joints � �pais � ou � minces �. (EN 998-2).
Mortier de montage
Mortier performanciel de collage des �l�ments de ma�onnerie pour la r�alisation de joints entre 1 et 3 mm d��paisseur. (EN 998-2).
Mortier de moulage
Mortier fluide pour r�aliser des ouvrages � l�aide de moules ou coffrages. Il est couramment utilis� pour faire des statues, balustres, corniches, dalles, pav�s�
Mortier de parement min
Mortier industriel color� � base de liants min�raux (ciment, chaux, pl�tre�) pour la protection et d�coration finale des surfaces verticales.
Mortier de parement organique (ou rev
Mortier color� � base de polym�re en dispersion, pour la protection et d�coration finale des surfaces verticales.
Mortier de pavage
Mortier pour la pose de mat�riaux de pavage ou dallage de sol.
Mortier de r
M�lange de r�sine synth�tique, fillers et/ou d�agr�gats min�raux, et d�additifs organiques pour lequel le durcissement est obtenu par r�action chimique. Les composants pr�dos�s sont couramment pr�ts � m�langer ensemble. (EN 12004).
Mortier de r
Mortier performanciel pour la r�paration ou le remplacement de b�ton d�fectueux. Il peut �tre � structurel � (participation � la r�sistance de l�ouvrage) ou non. (EN 1504-3)
Mortier de ragr
Mortier performanciel utilis� pour la finition d�un support afin d�obtenir une surface plane et lisse. Il est utilis� pour les murs et plafonds.
Mortier de recette
Mortier r�alis� dans des compositions d�finies, pour lesquelles les propri�t�s obtenues d�pendent des proportions des constituants (Concept de recette). (EN 998).
Mortier de remplissage
Mortier fluide utilis� pour le remplissage de cavit�s ou d�espaces entre des mat�riaux.
Mortier de restauration
Mortier performanciel pour la reconstitution et r�paration de pierres naturelles.
Mortier de scellement
Mortier performanciel pour la fixation et l�ancrage de mat�riels. Il peut �tre � base de ciment ou de r�sine r�active. (EN 1504-1). 0200102
Mortier de sous-couche pour ITE
Mortier appliqu� directement sur le support /mat�riau d�isolation thermique. Il contient l�armature. La sous-couche donne au syst�me la plupart de ses propri�t�s m�caniques.
Mortier de sous-enduit
Mortier permettant de r�aliser la (les) couche(s) interm�diaire(s) d�un syst�me d�enduit � multi- couches �. Il est normalement recouvert d�une couche de finition. (EN 998-1).
Mortier d’enduisage
Mélange d’un ou de plusieurs liants minéraux, agrégats et parfois d’adjuvants et/ou d’additifs utilisé pour réaliser des enduits extérieurs ou intérieurs. (EN 998-1)
Mortier en dispersion
Mortier de liant(s) organique(s) sous forme de polym�re(s) en dispersion aqueuse, d�additifs organiques d�agr�gats min�raux et/ou de fillers. Le m�lange est pr�t � l�emploi. 0100702
Mortier frais
Mortier m�lang�, pr�t � l�emploi.
Mortier hydraulique
Mortier contenant un liant min�ral hydraulique qui durcit avec de l�eau.
Mortier industriel
Mortier dos� et m�lang� en usine. Il peut �tre � sec �, pr�t � g�cher avec de l�eau, ou � humide �, livr� pr�t � l�emploi.
Mortier industriel semi-fini
Mortier pr�-dos�, modifi� sur le chantier.
Mortier isolant
Mortier performanciel pr�sentant des propri�t�s sp�cifiques d�isolation thermique. (EN 998-1).
Mortier l
Mortier performanciel durci dont la densit� est inf�rieure � 1.400 kg/m3. (EN 998-1).
Mortier monocouche
Mortier performanciel d�enduisage, appliqu� en une couche qui remplit toutes les fonctions (imperm�abilisation et d�coration) d�un syst�me � multicouches �. Il est g�n�ralement color�. (EN 998-1)
Mortier multi-composants
Mortier pr�sent� en composants pr� dos�s (ex. poudre + liquide) � m�langer ensemble sur le site.
Mortier performanciel (ou formul
Mortier dont la composition et la fabrication est d�finie par le producteur afin d�obtenir des propri�t�s sp�cifiquescc (Concept performanciel). (EN 998). 0100602
Mortier pr
Constituants dos�s en usine, livr�s sur le site du chantier et m�lang�s selon les instructions et conditions du fabricant (ex. Silo multi chambre).
Mortier pr
Constituants dos�s et m�lang�s en usine, livr�s sur le chantier o� un constituant sp�cifique peut �tre ajout� (ex. Ciment).
Mortier-colle
M�lange de liant(s) hydraulique(s), d�agr�gats, de polym�res et autres additifs organiques pour assembler des mat�riaux. (EN 12004). 0200602
Mortiers avec poussi
Une nouvelle g�n�ration de mortiers techniquement avanc�s, b�n�ficiant d�une r�duction significative de poussi�re avant application, lors du versement et du malaxage de la poudre. Cette technique n�affecte en rien les performances des produits et est obtenue en utilisant des technologies sp�ciales.
Ouvrabilit
Ensemble des propri�t�s de mise en �uvre d�un mortier qui lui conf�rent son aptitude � l�emploi. (EN 1015-9). 0401902
Oxyde de calcium, CaO
Aussi connu sous le nom de chaux vive, compose d�une part de calcium pour une part d�oxyg�ne.
Performance (environnementale) du b
Aptitude d�un b�timent � remplir les fonctions requises dans les conditions d�utilisation d�finies ou du comportement de ce dernier lorsqu�il est utilis�. (ISO 6707-1) 0100102
Perlite
Granulat l�ger utilis� pour l�isolation, fabriqu� � partir de roche volcanique naturelle et dont la structure cellulaire est obtenue par expansion de cette roche sous l�effet de la chaleur. (EN ISO 9229).
Perm
Flux de vapeur d�eau passant au travers d�une unit� de surface d�un mortier dans des conditions d��quilibre, rapport� � l�unit� de pression de vapeur. (EN 1015-19). 0501902
Perte d
Ph
Le proc�d� de s�chage et de durcissement d�un m�lange contenant un liant ciment.
Pierre calcaire
Des roches ou pierres dont les constituants principaux sont le carbonate de calcium et/ou le carbonate de magn�sium.
Pigment
Mat�riau colorant donnant sa couleur au mortier. Il peut se pr�senter sous forme de poudre ou � disperser dans l�eau.
Planification de la vie utile
L�objectif de la planification de la vie utile est d�assurer, aussi loin que possible, que la vie utile estim�e de l�ouvrage ou du composant sera au moins aussi longue que celle pr�vue lors de sa conception.
Plastifiant
Adjuvant permettant de r�duire la teneur en eau d�un mortier frais sans en affecter la consistance, ou d�augmenter sa fluidit� sans affecter sa teneur en eau, ou encore de produire les deux effets simultan�ment. (EN 13318)
Pompe de m
Pompe de m
Pontage des fissures
Capacit� d�un mortier � recouvrir des fissures dynamiques ou statiques. (EN 13318). 0100302
Porosit
Rapport entre le volume de pores et le volume total du mortier. (EN 1015-7).
Pouvoir mouillant
Aptitude d�un mortier frais � mouiller le support ou un mat�riau associ� pour faciliter son adh�rence. (EN 1347).
Pouzzolane
Mat�riau d�origine souvent volcanique, l�exemple le plus connu �tant celui de Pozzuoli du Mont V�suve, Italie. Les Romains utilisaient les pouzzolanes pour donner aux mortiers des propri�t�s hydrauliques. Elles �taient utilis�es dans les mortiers classiques et ont donn� le nom g�n�rique de Pouzzolanes.
Profil
Utilis�s dans les angles, ils permettent la r�alisation de bords nets et aussi une protection contre les impacts
R
R�sistance � l�usure par action m�canique de la surface d�un mortier durci. (ISO 7784-2). (EN 12808-2 Mortiers de joints pour carrelage). 0500102
R
Valeur maximale de rupture d�un mortier, d�termin�e par l�exercice d�une force en deux points oppos�s. (EN 1015-11 � Mortiers de ma�onnerie). (EN 13888 � Mortiers de joints pour carrelage).
R
Valeur maximale de rupture d�un mortier, d�termin�e par l�exercice d�une force en trois points. (EN 1015-11- Mortiers de ma�onnerie). (EN 13888� Mortiers de joints pour carrelage).
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R�sistance d�termin�e par l�application d�une force exerc�e parall�lement � la surface du mortier. (EN 1322 - Adh�sifs et colles r�actives). (EN 12615 � Mortiers de r�paration du b�ton).
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Capacit� d�un rev�tement de sol � assurer par frottement une r�sistance au glissement de personnes ou de v�hicules. (EN 13318).
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R�sistance d�termin�e par l�application d�une force exerc�e perpendiculairement � la surface du mortier. (EN 1348 - Mortiers-colles). (EN 1015-12 - Mortiers d�enduit). (EN 12636 � Mortiers de r�paration du b�ton).
R
Aptitude d�un mortier [hydraulique] frais � conserver son eau de g�chage pour permettre son durcissement normal. (EN 1015-8).
Renforcement
Barres, treillis, filets ou fibres ajout�es au mortier, ou mat�riau incorpor� dans la couche d�enduit ou du syst�me pour am�liorer sa r�sistance m�canique. (EN 13318, EN 13500)
Résistance en compression
Valeur maximale de rupture d’un mortier, déterminée par l’exercice d’une force en deux points opposés. (EN 1015-11 – Mortiers de maçonnerie). (EN 13888 – Mortiers de joints pour carrelage).
Résistance en compression
Valeur maximale de rupture d’un mortier, déterminée par l’exercice d’une force en deux points opposés. (EN 1015-11 – Mortiers de maçonnerie). (EN 13888 – Mortiers de joints pour carrelage).
Résistance en flexion
Valeur maximale de rupture d’un mortier, déterminée par l’exercice d’une force en trois points. (EN 1015-11- Mortiers de maçonnerie). (EN 13888– Mortiers de joints pour carrelage).
Résistance en traction
Résistance déterminée par l’application d’une force exercée perpendiculairement à la surface du mortier. (EN 1348 - Mortiers-colles). (EN 1015-12 - Mortiers d’enduit). (EN 12636 – Mortiers de réparation du béton).
Retardateur
Adjuvant du mortier qui retarde le d�but de durcissement. (EN 13318)
Retrait
R�duction de volume d�un mortier sans support, apr�s durcissement. (EN 12808-4 � Mortiers de joints pour carrelage).
Rugosit
Caract�ristique de la texture d�un mortier.
Rupture adh
Rupture apparaissant � l�interface entre le mortier et le support ou le mat�riau associ�. La valeur correspond � l�adh�rence.
Rupture coh
Rupture apparaissant dans l��paisseur du mortier (la r�sistance du mortier est inf�rieure � celle du support) ou dans le support (la r�sistance du mortier est sup�rieure � celle du support).
Silos
Sous-enduit
Couche(s) inf�rieure(s) d�un syst�me. (EN 998-1). 0103502
Sous-face
Partie inf�rieure horizontale, expos�e d�un b�timent. (EN 13499).
Spectre de ma
D� � un mauvais mortier et/ou � une �paisseur insuffisante d�enduit, les �l�ments de ma�onnerie deviennent visibles au travers de l�enduit, sp�cialement par temps humide.
Super plastifiant
Adjuvant permettant de r�duire fortement la teneur en eau d�un mortier frais sans en affecter la consistance, ou d�augmenter sa fluidit� sans affecter sa teneur en eau, ou encore de produire les 2 effets simultan�ment. (EN 13318)
Support
Surface sur laquelle le mortier (enduit organique ou min�ral ou rev�tement peint) est appliqu�.
Support de d
Mat�riau utilis� pour supporter l�enduit de fa�on � le rendre ind�pendant du support. (Par exemple, une toile fix�e au support en b�ton)
Syst
Syst
Syst�me de produits manufactur�s appliqu� sur site, comprenant au minimum une colle et/ou des dispositifs de fixation m�canique, un mat�riau d�isolation thermique, une ou plusieurs sous-couches, une armature et une couche de finition. Ces composants sont indissociables.
Syst
S�rie de couches appliqu�es sur un support, �ventuellement avec une d�solidarisation et/ou un renforcement et/ou un pr�-traitement. (EN 998-1).
Taloche
Taloche crant
Taloche plastique
Temps de durcissement
D�lai n�cessaire pour obtenir la r�sistance d�un mortier. Il correspond dans la pratique au d�lai de mise en service de l�ouvrage fini.
Temps de prise
Dur�e au bout de laquelle le mortier commence � durcir. Apr�s ce temps le mortier pr�sente normalement une sensibilit� � l�eau r�duite. (EN 1015-4).
Temps ouvert (TO)
D�lai maximum apr�s application pour effectuer la finition. (EN 1346 - Colles � carrelage). (EN 12189 - Mortiers de r�paration du b�ton).
Thixotropie
C�est le changement de consistance d�un mortier frais sous l�action d�un mouvement ou d�une agitation.
Toile en fibre de verre mortiers et am
Utilis�e pour �viter la fissuration des
Truelle d
Truelle de jointoiement
Unit
Vermiculite
Mat�riau d�isolation obtenu par expansion et exfoliation de mica naturel sous l�effet de la chaleur. (EN ISO 9229). 0302802
Vie utile
P�riode de temps apr�s l�installation durant laquelle une construction ou un syst�me constructif remplit ou exc�de ses exigences techniques et fonctionnelles.
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